- d’améliorer l’aspect moteur,
- de travailler sur la posture, l’équilibre et la remise en confiance en soi.
- Mais aussi favoriser le bien-être: faciliter la détente, travailler sur les douleurs.
- Au niveau de la communication, mettre des mots sur des maux et stimuler l’aspect non-verbal.
L’atelier de prévention des chutes
Dans une dimension préventive ou rééducative, découvrez le groupe équilibre adapté à chacun.
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Le vieillissement dit “pathologique”
Brève présentation des différents troubles rencontrés en psychomotricité :
La maladie d’Alzheimer regroupe des troubles spatio-temporels, troubles du comportement, troubles de la mémoire et de l’attention, troubles du jugement et de la pensée abstraite jusqu’à présence de délires.
La maladie de Parkinson présente des troubles moteurs : du contrôle du mouvement, de l’équilibre, du tonus musculaire ; ainsi que des troubles comportementaux et troubles cognitifs.
La démence à corps de Lewy: troubles de la mémoire, troubles visuels, troubles spatiaux et possibles troubles cognitifs, comportementaux, moteurs, et hallucinations.
La maladie de Huntington: troubles moteurs, troubles de la mémoire, troubles de l’attention et roubles du comportement.
La démence frontotemporale amène des troubles du comportement, mais aussi des troubles de la mémoire et troubles du langage.
La démence vasculaire par AVC amène à des troubles multiples.
Membres paralysés, hémiplégie, amputation : troubles de la dominance latérale, de la commande motrice, de la sensibilité.
Apraxie : troubles de la réalisation de mouvements,
Agnosie: troubles de la reconnaissance.
Évidemment, ceci n’est qu’une liste de troubles et pathologies alors qu’en psychomotricité, on s’attache justement à rencontrer la personne dans sa globalité. Il s’agira de re-situer la personne dans son contexte, évoquer son histoire de vie, ses angoisses, et, à l’aide du bilan, d’analyser ses capacités et difficultés pour établir son projet thérapeutique.